Le capitaine voit une température de 40°C sur le thermomètre et fait surface sur le bateau à environ 80 miles au large de la côte d’Hawaï. Sur le micro général, il annonce « Swim Call ».
Une occasion de plus en plus rare en raison de son risque inhérent. Ce qu’il faut savoir, c’est que le bateau avance encore très lentement car la vis (hélice) doit rester en mouvement sous peine d’endommager les joints d’arbre.
Si vous nagez hors du pont de missiles et que vous ne faites pas attention, le bateau pourrait simplement s’éloigner très lentement, ce qui vous obligerait à nager comme un abruti pour le rattraper. Le problème, c’est que le sous-marinier n’est pas un grand sportif et que l’exercice soudain n’est pas son fort. En Russie, le « Swim Call » n’est réservé qu’aux courageux !