D’autres faits invérifiables émanent de la Marine soviétique (Alexandre S. Duplaix & P. Huchthausen – 2009). En 1962, le capitaine de 3^ème rang Kviatkovskiy, futur chef du renseignement naval entre 1987 et 1992, observa au périscope une lumière brillante rouge orangée qui se déplaçait près des îles Féroé.

En 1965, le capitaine Voronov faisait surface dans l’Atlantique pour rencontrer un navire de soutien quand les marins montés sur le pont ont aperçu un objet en forme de cigare mesurant entre 100 à 150 m. Rien n’apparaissait sur le radar de surface. Des rayons lumineux ont jailli de l’objet et celui-ci a ensuite plongé sous la surface.

Fin des années 60, le contre-amiral Chevenov commandait un sous-marin nucléaire au nord de Nakhodka. En plein brouillard, le radar de surface repéra un objet se dirigeant rapidement sur lui. A l’endroit estimé de la collision, et après avoir allumé ses feux et fait retentir des sirènes, aucun objet n’était visible. Le même phénomène se répéta un an plus tard, mais avec une visibilité totale. L’objet repéré par le radar était invisible.

Un peu plus tard, les soviétiques entendirent grâce à leurs sonars passifs des signaux étranges à de grandes profondeurs. Cela ressemblait à des croissements de grenouille (Kviakier en russe ou Quakers en anglais). Ce son était très distinctif de ceux générés par les autres sous-marins. Quand ils lançaient une impulsion au sonar actif, le Kviakier répondait, comme s’il était doté d’une intelligence particulière d’autant que l’objet semblait tourner autour du sous-marin. Certains pensent aujourd’hui que c’étaient des calmars des profondeurs.

Pendant l’hiver 78-79, un OVNI fut aperçu à plusieurs reprises au-dessus de la base sous-marine de Zapadnya Litsa dans la péninsule de Kola. En mer de Barents des marins situés sur le massif d’un SSBN naviguant en surface virent une soucoupe à moins de 15 m et qui projetait un rayon sur le pont.

En juillet 2009, les instruments d’un sous-marin nucléaire russe commandé par le commandant Yuri Beketov ont enregistré des objets dans le triangle des Bermudes à une vitesse de plus de 250 nds. Il n’a pas été possible de les identifier. Les autres instruments de bord étaient hors service, indiquant la présence de fortes interférences. Même observation dans le Pacific sud où au cours d’une opération de routine, un sous-marin a enregistré six objets inconnus se déplaçant en formation à des vitesses supérieures à 230 nds. Le sonar du sous-marin a déterminé que les objets se déplaçaient vers eux, alors le capitaine a donné l’ordre de remonter à la surface. Les objets les ont suivis puis, atteignant la surface, se sont envolés.